P… un R…
Postée il y a bientôt 2 semaines, elle aurait fait davantage sensation que maintenant !
L’expression est apparemment assez récente (genre moins de 50 ans…) et s’utilise encore pas mal de nos jours. Le verbe utilisé est parfois « se manger », mais de mon point de vue c’est plus rare. Après, peut-être que ça dépend des régions, hein ? Toujours est-il que la situation qu’elle décrit n’est pas près de prendre fin : tant qu’il y aura de l’attirance, il y aura, Cieux merci, des demandes et des refus. C’est même complètement souhaitable en fait, quand on y pense.
Pour ce qui est de l’origine, bon, je n’ai pas trouvé d’information qui m’apporte autre chose qu’une simple déduction : qui n’a jamais… euh… en fait la majorité des gens aujourd’hui n’ont jamais été dans cette situation, vie urbaine oblige. TOUTEFOIS, je me suis un jour essayé à l’opération, volontairement, au sens propre. Hé ben purée, heureusement que je m’y attendais car même comme ça, ça a fait mal. J’imagine même pas quand ça arrive de manière involontaire. Bref, marcher dans son jardin et malencontreusement mettre le pied sur le bout denté d’un râteau propulse, par un fort effet de levier, le manche dudit râteau en l’air, jusqu’à la face du marcheur. Testé et (dés)approuvé. Clairement, l’effet de surprise et de douleur a sans doute inspiré la personne qui a pour la première fois utilisé cette expression.
« Si l’émission « ‘Amour est dans le Pré » se passait dans l’espace, les candidates se prendraient-elles un satellite au lieu de se prendre un râteau ? »